París 17 de Septembre de 2016
Nous vivons dans une perspective de globalisation sur l’évolution de la communauté internationale. Dans une mondialisation capitaliste en phase de sortie du néolibéralisme parmi la financiarisation. Ainsi encadrée Gus Massiah les trois conférences internationales Habitat I, Habitat II et Habitat III, depuis les années 60, comme une contradiction profonde entre l’architecture internationale institutionnelle, l’ONU, et une logique dominante capitaliste qui sacrifie toutes les valeurs dans un champ bataille idéologique qui n´est autre que les droits de l’homme et en particulier le droit au logement, la ville et la terre. Nous devons commencer par les mouvements sociaux de base pour tisser un réseau d’alliances internationales qui permettent de faire face à cette hégémonie culturelle.
Pouvons-nous continuer à compter sur l’ONU comme une garantie pour la mise en œuvre et la maintenance des droits conquis? La question de la terre, le droit progressif, l’expulsion arbitraire … sont quelques-unes des nuances qui incorpore un Habitat III du Nouvel Agenda Urbain (NUA) de qui ne deviendra aucun engagement contraignant. Yves Cabannes fait question sur l’authenticité et les attentes de la Conférence internationale qui se tiendra à Quito.
Et donc nous nous avons interrogé, nous-mêmes, tous les participants à ce séminaire / conférence intitulée Habitat III … et alors?
Nous avons eu une excellente occasion de partager heures d’exposition de la pensée et de la réflexion, avec une intensité et une passion pour le débat entre les différents acteurs autour d’un thème avec lequel nous sommes tous engagés.
4 ateliers de travail jusqu’à cette rencontre entre les chercheurs et les mouvements sociaux:
1. Du bon usage des conférences internationales au regar des enjeux sociaux, écologiques et démocratiques.
2. Droit à la Ville et à l´Habitat
3. Justice spatiale et compétitivité
4. Quelles alliances pour produire la Ville solidaire?
Un bon parcours pour réfléchir sur la forme et le contenu de la Conférence internationale à Quito et sur notre participation ou non à ce que les mouvements sociaux que nous préconisons.
Si nous analysons des exemples de villes à travers le monde, plus ou moins grande, plus ou moins «progressiste», toutes elles montrent l’inefficacité des autorités locales lorsqu’ils tentent d’établir des règles du jeu démocratiques qui traitent de fair attention à des principes de base de l’inclusivité, la résilience et durabilité.
Nous devons nous écouter nous-mêmes pour exercer le droit à la ville. Seulement alors, collectivement, nous pouvons exercer ce droit et aspirer à la fonction sociale de la propriété. Le droit à la ville est, dans la pratique, la reconnaissance constitutionnelle par les autorités et la permission, sans punir la protestation, a les seuls capables de l’exercer: Les partenaires sociaux. Nous avons le droit à la résistance et à la gestion. S´il n´est pas actionée par les partenaires sociaux le droit n´avance pas. On peut parler de conquête dans la mesure où la décision est locale et non loin dans les organismes indépendants de la volonté de la population: la ville appartient à ceux qui vivent.
La distribution des données de population et des terres, aux niveaux du local au global, ouvrent une autre fenêtre de réflexion: la justice spatiale, par opposition à la compétitivité. La métropolisation est la compétition. Que ce soit à Paris, que ce soit à Fukushima, la financialisation s´étend à tous les aspects de la vie urbaine de façon plus marquée dans les grandes aires métropolitaines.
Nous ne voyons pas Habitat III éclater les grands défis auxquels l’humanité est confrontée. Demande donc instamment résister à cette dérive technocratique qui implique la mise en œuvre de NUA. Nous devons définir une stratégie d’alliances qui mèneront à une transition de la légalité à la liberté.
Voici un petit échantillon entrelacé réflexions qui sont déposés sur la table et flottant comme une énergie partagée dans l’air de notre réunion de 6 heures. Ils pourraient être beaucoup plus et j’espere que personne ne se sent tort de ne pas parler de leur contribution.
La contribution de la PAH a cette réunion est de transférer notre expérience en tant que mouvement qui lutte pour sauver la personne coupable de sa solitude et de le placer à la société en tant que victime collective des droits non tenues. Nous croyons que les conseils collective est un excellent outil pour l’autonomisation nécessaire de l’individu et que cette dynamique peut être valable pour d’autres pays. En tout cas, nous voyons qu’il ya assez de joueurs au niveau européen et mondial, de définir des objectifs, des stratégies et des alliances. Par conséquent, à partir du PAH, nous appelons ces acteurs, en particulier les chercheurs et les mouvements sociaux, avançant la cohésion. Nécessite un effort conjoint, exploiter bien et compter sur les réseaux sociaux, le tissage de ces alliances nécessaires pour ce que le prochain nouvel agenda urbain soit pas de 20 nouvelles années perdues à l’ONU.
París 17 de Septiembre de 2016
Vivimos en una perspectiva de Globalización en la evolución de la Comunidad Internacional. En una mundialización capitalista en fase de salida del Neoliberalismo a través de la Financiarización. Así enmarca Gus Massiah las tres conferencias internacionales Habitat I, Habitat II y Habitat III, desde los años 60, como una profunda contradicción entre la arquitectura Institucional Internacional, la ONU, y una lógica dominante capitalista que sacrifica todos los valores en un campo de batalla ideológico que no es otro que el de los derechos humanos y concretamente el derecho a la vivienda, a la ciudad y a la tierra. Hay que partir de los movimientos sociales de base para tejer una red de alianzas a nivel internacional que permita confrontar esa hegemonía cultural.
¿Podemos seguir confiando en la ONU como una garantía para la puesta en práctica y mantenimiento de los derechos conquistados? La cuestión de la tierra, el derecho progresivo, el desahucio arbitrario… son algunos de los matices que incorpora un Habitat III a la Nueva Agenda Urbana (NUA) de la que no se espera ningún compromiso vinculante. Así cuestiona Yves Cabannes la autenticidad y las expectativas de la Conferencia Internacional que se desarrollará en Quito.
Y así nos lo cuestionamos todas las participantes en este seminario/conferencia bajo el título Habitat III… y después?
Tuvimos una magnífica ocasión de compartir horas de exposición de pensamiento y reflexión, con intensidad y pasión por el debate, entre diferentes actores entorno a un mismo tema con el cual nos sentimos todas comprometidas.
4 Talleres de trabajo configuran este encuentro entre Investigadores y Movimientos Sociales:
- Del buen uso de las Conferencias Internacionales a la vista de las cuestiones sociales, ecológicas y democráticas.
- Derecho a la Ciudad y al Hábitat
- Justicia espacial y competitividad
- ¿Cuales alianzas para producir la Ciudad solidaria?
UN buen itinerario para reflexionar sobre la forma y los contenidos de la Conferencia Internacional en Quito así como sobre nuestra participación, o no, en ella como movimientos sociales que somos y propugnamos.
Si analizamos ejemplos de ciudades por todo el mundo, más o menos grandes, más o menos “progresistas”, todas ellas nos muestran la ineficacia de las administraciones locales cuando intentan establecer reglas de juego democráticas que atiendan a unos principios básicos de inclusividad, resiliencia y durabilidad.
Es necesario escucharnos a nosotras mismas para poder ejercer el derecho a la ciudad. Solo así, colectivamente, es posible ejercer ese derecho y aspirar a la función social de la propiedad. El derecho a la ciudad es, en la práctica, el reconocimiento constitucional por las autoridades y la permisión, sin castigar la protesta, a los únicos capaces de ejercerlo: Los agentes sociales. Tenemos derecho a la resistencia y a la gestión. Si no es accionado por los agentes sociales el derecho no avanza. Se puede hablar de conquista en la medida en que la capacidad de decisión sea local y no alejada en organismos fuera del control de la población: la villa nos pertenece a quienes la habitamos.
Los datos de población y reparto de la tierra, a niveles desde lo local hasta lo global, nos abren otra ventana de reflexión: la de la Justicia Espacial en contraposición a la competitividad. La metropolización es la competición. Sea en París, sea en Fukushima, la financiarización se extiende a todos los aspectos de la vida urbana de manera más acusada en las grandes áreas metropolitanas.
No vemos que Habitat III acometa los grandes retos que la humanidad tiene frente a sí. Urge, por tanto, resistir ante esta deriva tecnocrática que supone la implementación de la NUA. Es preciso definir una estrategia de alianzas que nos lleve a una transición de la legalidad a la libertad.
Hasta aquí una pequeña muestra entrelazada de las reflexiones que se depositan sobre la mesa y que flotan como una energía compartida en el aire de nuestras 6 horas de encuentro. Podrían se muchas más y espero que nadie sienta agravio por no mencionar su aportación.
La aportación de la PAH a este encuentro consiste en el traslado de nuestra experiencia como movimiento que lucha por rescatar a la persona de su culpable soledad y por situarla ante la sociedad como víctima colectiva de derechos insatisfechos. Pensamos que el asesoramiento colectivo es una excelente herramienta para el necesario empoderamiento de la persona y que esta dinámica puede ser válida para otros países. En todo caso vemos que hay actores suficientes, a nivel europeo y mundial, para definir objetivos, estrategias y alianzas. Por eso, desde la PAH, reclamamos de estos actores, sobre todo investigadores y movimientos sociales, avanzar en Cohesión. Es necesario un trabajo conjunto, explotar bien y apoyarse en las redes sociales, tejer esas alianzas necesarias para que la próxima Nueva Agenda Urbana no sean 20 nuevos años perdidos en la ONU.